Le syndrome du titanic

Je suis allé à l'avant premiere du film de Nicolas Hulot et Jean-Albert Lièvre, "le syndrome du titanic" qui sortira le 7 octobre 2009, et donc ce qui était interressant, c'est d'avoir pu débattre apres le film avec les réalisateurs, Nicolas et Jean Albert.


premiere constatation au regard du film, changement de vision de nicolas sur la realité de notre monde, je dirais même qu'il etait déprimé au vu de certains de ses commentaires. Ce film est un documentaire sur l'état de notre planète finalement.
ce que je trouve dommage, c'est que les personnes qui s'interressent à notre planète et à son environnement, en voyant ce film peuvent etre déçus, car il ne nous apprend rien de nouveau sur la decadence de notre societe en matiere d'environnement. je pense qu'Il serait destiné a un public moins averti, mais irat il le voir ?

ce qu'il faut retenir du film, c'est que notre monde est au bord de l'explosion ou implosion, et qu'il faut changer maintenant car il est peut etre deja trops tard...

mais changer quoi ? Nicolas parle de revoir nos mode d'interraction d'avec la planete et oups...faut que j'aille chercher ma pizza, atouta a l'heure.
philippe

rahh ça fait du bien de manger, thank a lot a ma planete de faire d'aussi bonne chose.
j'en etait ou...ah oui :
donc, notre maniere d'aborder la vie est dangereuse pour la survie de notre planete, et de nous meme ! il parle dans le film de la societe de l'exces, chose que j'avais deja evoqué ici meme il y a quelque temps, et que notre comportement nous pousse a arracher a la planete tout pour nous satisfaire.

dans le debat, une personne a souligner l'incoherence entre l'ideal de la societe, et celui de ceux qui desirent faire quelque chose pour changer, on se heurte alors a un mur parfois douloureux, une machine batit sur le profit et la satisfaction immediate, avec aucune reflexion sur le long termes.
Nicolas a evoqué la taxe carbone comme pouvant amener les gens a reflechir autrement, je suis d'accord sur le fait d'amorcer une reflexion dans les consciences des populations du monde, mais il ne faudrait pas que dans la peur d'un desastre (qui se sent beaucoup dans ses commentaires) on viennent a accepter tout et n'importe quoi comme cela en prend le chemin !

rester vigilant, ouvert au critique et unis dans l'effort serait peut etre deja un bel effort de comprehension du mal etre qui nous devore. Ne pas sombrer dans un pessimiste qui nous plongerai dans le noir, mais etre tout de meme realiste quand a la realité des faits qui sont, je dois dire, bien noir. pour reprendre l'expression de thierry, ne pas faire l'autruche.
a bientot
philippe